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Jackinzebox
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MessagePost� le: Jeu Jan 18, 2018 10:22 am    Sujet du message: Répondre en citant

c'est bien que tu restes poli ( ma biche � chaque fois )

remets lui un gros bisou Wink

Hey Phil j'ai revu le film "Justinien Trouv� le Batard de Dieu"
c'est tir� du livre de Folco "Dieu et nous seuls pouvons"

je l'ai enregistr� sur mon bouquet "films" Cool
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Phil1
Rwa des Belches


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MessagePost� le: Jeu Jan 18, 2018 9:13 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Je l'avais revu il y a quelques mois .. dommage qu'il n'y a pas de suite .. Crying or Very sad
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Jackinzebox
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MessagePost� le: Ven Jan 19, 2018 2:49 pm    Sujet du message: Répondre en citant

oui dommage aussi que la fin ne respecte pas DU TOUT le bouquin...

c'est l� qu'on se dit qu'il n'y aura pas de suite puisque si Pibrac ne reste pas le bourreau de Belle-Rocaille, alors le bouquin ne peut pas continuer Wink



ceci dit, chouette film Cool
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Phil1
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MessagePost� le: Sam Jan 20, 2018 1:38 am    Sujet du message: Répondre en citant

Dommage concernant Charlemagne .. Crying or Very sad
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Jackinzebox
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MessagePost� le: Lun Jan 22, 2018 9:52 am    Sujet du message: Répondre en citant

c'est s�r que �a pourrait faire de beaux films �piques avec cette solide base historique et cette libert� de ton r�jouissante Cool

� noter que Folco fait une apparition � la Hitchcock dans le film lors de la presque pendaison de Justinien Cool

il est facile � reconnaitre, il n'a pas une t�te banale Cool

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Phil1
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MessagePost� le: Lun Jan 22, 2018 11:08 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Mais pourquoi n'avoir rien �crit d'autre ???

Heu .. un p'tit cot� Madphil avec 10 ans de plus .. Cool
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Jackinzebox
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MessagePost� le: Mar Jan 23, 2018 9:33 am    Sujet du message: Répondre en citant

Phil1 a �crit:
Mais pourquoi n'avoir rien �crit d'autre ???



�a faut lui demander ! Wink
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Phil1
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MessagePost� le: Dim Mar 04, 2018 10:02 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Les 5 bouquins continuent � tourner parmi mes copains .. et en g�n�ral, �a cartonne .. Very Happy

Sinon, je lis deux books int�ressants ...

- le dernier Ken Follett .. "une colonne de feu" .. comme toujours avec lui, on a dur � fermer le livre pour faire autre chose !!!

- et puis dans un autre genre mais tout aussi passionnant .. "l'affaire DREYFUS revisit�e" de Robert Harris.

Si vous lisez ce bouquin l�, vous comprendrez comment 50 ans apr�s, on est arriv� au "Vel d'Hiv" !!!
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Jackinzebox
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MessagePost� le: Lun Mar 05, 2018 10:58 am    Sujet du message: Répondre en citant

c'est un roman ( historique d'accord mais roman quand m�me )

il y a un texte pas con que j'ai lu en vitesse et qui t'int�ressera s�rement
je ne connais pas l'auteur mais il a lu le bouquin et il s'y connait

"
D., le Dreyfus de Robert Harris
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Dans une critique qu�il fait du roman de Robert Harris, Gilles Heur� ouvre son papier en demandant que � les historiens ne s�en offusquent pas � mais qu� � il est bien naturel que l�affaire Dreyfus, tomb�e dans le domaine public de l�histoire et d�j� �voqu�e en leur temps par Roger Martin du Gard, Proust ou Octave Mirbeau, puisse faire aujourd�hui l�objet d�un roman. � Nous ne nous en offusquons pas mais avons en effet quelque m�fiance de principe et d�autant plus que le projet de ce nouveau D. d� � Robert Harris n�est pas d�utiliser l�Affaire comme toile de fond mais de faire de l�Affaire un roman, autrement dit de nous donner � lire LE roman de l�Affaire Dreyfus. In�vitable donc, comme pour les adaptations cin�matographiques, que l��v�nement soit simplifi�, que certains acteurs soient oubli�s quand d�autres trouvent une importance qu�ils n�ont jamais eue et que la dimension psychologique qui supporte la trame narrative trace des portraits qui ne sont pas toujours conformes. Le roman ob�it � des r�gles que l�histoire ne conna�t pas� En une note liminaire, l�auteur nous pr�vient d�ailleurs des libert�s qu�il a pu prendre avec l�histoire. Et sur cette base, il nous livre en effet un roman passionnant, facile et agr�able � lire, bien men� et haletant. Et de plus, relativement au sujet qui est le sien et � travers les pi�ces qu�il cite r�guli�rement, un roman bien document�. Mais cela importe-t-il puisqu�il s�agit d�un roman ? Nous sommes l� dans toute l�ambivalence qui est celle de cet objet tout � fait particulier et peu identifi�. Il est un roman et peut donc faire ce qu�il veut de l�histoire r�elle qui en est � l�origine tout en �tant la narration d�un fait historique, document�, fond� en partie sur un travail archivistique, et reposant sur la trame et les caract�res de l��v�nement qui en est son sujet. � L�affaire Dreyfus comme vous ne l�avez jamais lue �, nous dit l�argument marketing de la couverture. Roman d�histoire plus que roman historique donc ? Et dans ce cas � et je ne peux m�emp�cher de penser au lecteur peu familier qui lira ici moins un roman d�Harris (tout en le lisant parce qu�il est un roman d�Harris) qu�un roman sur l�Affaire � D. demeure tout � fait probl�matique.


Il est le r�cit de l�Affaire par Picquart, h�ros du devoir et homme de conscience, qui, contre tous, ses pairs et ses chefs, d�cide de mener jusqu�au bout le n�cessaire combat pour la v�rit� et la justice. Picquart le � lanceur d�alertes �, celui qui osa se lever, seul, contre une institution, un gouvernement, un pays pour dire la v�rit� au risque d��tre broy�. Une conscience, un h�ros et d�autant plus que l�antis�mite qu�il �tait risquait sa carri�re et sa vie pour un juif. Voici ce que nous dit D. et voil� le premier probl�me que pose ce roman. Nous connaissons en effet cet air qui �tait celui que chantait Clemenceau opposant la victime, � l�ouvrier de l�usine saisi par un volant et broy� par le monstre de fer avant que les spectateurs aient pu faire autre chose que de pousser un cri d��pouvante �, au h�ros qui, � lui, n�est pas la victime involontaire � mais � l�homme qui, pour r�parer le mal, s�offre en sacrifice, de propos d�lib�r� �. Dreyfus, une nouvelle fois est � n�antis� �, pour reprendre la formule de Jean-Louis L�vy, dans ce roman dont le titre m�me en est la manifestation : D. Et si Dreyfus n�y appara�t que peu, c�est toujours suivant l�habituel portrait : antipathique, � antipathiquement � riche, s�r de lui et h�bleur, etc. De l� sans doute cette notation, historiquement fausse et probl�matique, d�une famille qui avait choisi l�Allemagne pour continuer ses petites affaires. Mais sans doute est-ce l� le seul Picquart, le seul personnage d�un roman, qui parle, qui parle et qui se trompe ? Peut-�tre� ou peut-�tre pas dans la mesure o� � la suite c�est bien dans ces mani�res d��tre qu�appara�t ce Dreyfus arriviste, �talant sa richesse, qui fait des � avances d�ordre personnel � � son professeur, l�invitant � d�ner � dans son appartement de l�avenue du Trocad�ro � ou � l�accompagner � � �une partie de chasse de premi�re ordre� organis�e pr�s de Fontainebleau �. Reprenant et transposant l��pisode de � la cote d�amour �, Harris nous pr�sente m�me un Dreyfus vindicatif, arrogant, estimant ne pas �tre pay� selon son d� et qui, simple �tudiant, vient voir son professeur pour discuter une note qu�il estime ne pas �tre juste et uniquement motiv�e par des sentiments qui n�ont que peu � voir avec la p�dagogie : � Ce ne serait donc pas parce que je suis juif ? � Le romancier romance et sur la base du vrai transpose l��v�nement pour servir sa trame narrative� sans doute. Mais la transposition est l� pour le moins hardie et n�a vraiment pas la m�me valeur. � l��cole de guerre, Dreyfus s��tait vu attribuer un 5 par le g�n�ral de Bonnefond au seul titre qu�il �tait juif. Il avait tenu, sans r�criminer, sans se plaindre, sans protester, � demander au g�n�ral Lebelin de Dionne, commandant de l��cole, � si un officier juif n��tait pas capable de servir son pays aussi bien qu�un autre �� L�histoire n�est pas la m�me et celle que nous narre Harris nous laisse sur une curieuse impression. Apr�s la � n�antisation �, pour revenir au superbe texte de Jean-Louis L�vy (� Alfred Dreyfus antih�ros et t�moin capital � dans Alfred Dreyfus, Cinq ann�es de ma vie, Paris, La D�couverte, 1994, p. 238-242), la � d�figuration �. Une � d�figuration � qui se retrouve encore dans un �pisode plus probl�matique encore. A la fin du roman, Harris nous raconte que Picquart d�couvre un jour, un an et demi apr�s la lib�ration de celui pour lequel il a tout perdu, une lettre laconique de Dreyfus lui demandant un rendez-vous pour lui � exprimer en personne [s]a gratitude �. Une lettre � laquelle Picquart r�pond par un mot plus laconique encore et qui constitue un courtois et glacial refus. Dreyfus, fait dire Harris � Picquart, � n�est pas le genre d�homme qui remercie facilement. Parfait, je ne suis pas le genre d�homme qui re�oit facilement les remerciements. �pargnons-nous donc le d�sagr�ment d�une rencontre �. Voici donc encore une fois, comme l�avait fait Lanoux, comme d�autres l�avaient fait encore, le Dreyfus ingrat. Un point de vue que l�on retrouve exprim� par Polanski, qui doit tourner son prochain film sur la base du roman d�Harris, dans une interview donn�e � Nicolas Weill : � [�] comme h�ros, Dreyfus n�est pas tr�s int�ressant. C�est un homme qui n��tait pas particuli�rement s�duisant ni sympathique, m�me pour les gens qui le soutenaient. � (� L�affaire Dreyfus, bient�t un thriller sign� Polanski �, Le Monde, 3 juillet 2014). Dreyfus avait remerci� Picquart (voir la lettre in�dite donn�e � la fin) et ne lui avait �crit pour le voir qu�� ce moment pour l�unique raison qu�apr�s sa gr�ce il �tait parti pour Carpentras puis pour la Suisse dont il �tait revenu le 25 novembre. Et revenu � Paris, imm�diatement, il avait �crit cette lettre � Picquart pour le voir et le remercier de vive voix apr�s l�avoir fait par �crit. Et si Picquart refusa de le voir, ce n�est pas parce qu�il jugeait que cette demande arrivait bien tard (� De Dreyfus, je n�ai pas de nouvelles �). Picquart savait que Dreyfus n��tait pas revenu � Paris et qu�il reprenait des forces loin de la capitale. S�il ne r�pondit pas, c�est parce qu�il jugeait que la mani�re de Dreyfus de mener son combat pour la r�habilitation n��tait pas la bonne, parce qu�il lui reprochait de consulter Demange dont il exigeait la mise � l��cart au profit du seul Labori et, surtout, parce qu�il �tait convaincu que les Dreyfus, de concert avec Waldeck-Rousseau, �uvraient pour faire passer l�amnistie qui le priverait de la justice qu�il r�clamait et � laquelle il avait droit. C�est ainsi que Labori pourra �crire, dans des notes encore in�dites, cette petite phrase que Picquart paraphera en marge pour marquer son accord : � Waldeck-Rousseau ach�vera de tout perdre. Il assurera l�h�g�monie isra�lite, mais il sacrifiera d�finitivement par l�amnistie la justice et l�honneur �� (� ce sujet, voir aussi ici)
Le roman est certes, par principe et essence, simplificateur mais n�est pas n�cessairement caricatural. Caricature de Dreyfus, donc, et caricature aussi du Picquart h�ro�que et valeureux. Certes il eut le courage d�ob�ir � sa conscience et d�oser se mettre contre sa hi�rarchie. Mais il est faux, comme nous le dit Harris, que l�� ordre � fut donn� � Picquart de � laisse[r] Dreyfus en dehors de �a � et qu�il d�cida de � passer outre Boisdeffre et Gonse � (p. 237 et 238). Aucun ordre ne lui fut donn� et c�est justement pour cela que Picquart s�obstina. Ce que voulaient Gonse et Boisdeffre �tait que Picquart compr�t de lui-m�me o� �tait son int�r�t et celui de l�arm�e et qu�il ag�t en cons�quences. On lui faisait comprendre les choses mais on ne lui disait rien de pr�cis et on feignait m�me de poursuivre le m�me but que lui. Picquart �tait conscient de cela mais, ob�issant � � un devoir de conscience �, il continuerait tant qu�on ne lui dirait pas d�arr�ter.Il fut clair � ce sujet expliquant au proc�s Zola que si un ordre lui avait �t� clairement et formellement donn�, il aurait � rempli [s]on devoir d�officier � et se � serai[t] arr�t� � : � je n�avais pas l�opposition absolue de mes chefs ; je sentais que je n��tais pas en communion d�id�es compl�te avec eux, mais ils ne me disaient pas de m�arr�ter ; sans cela, j�aurais rempli mon devoir d�officier, je me serais arr�t�. Je ne sais pas trop ce que j�aurais fait apr�s�, mais je me serais arr�t�. � Il dira encore : � [�] j�ob�irai toujours aux ordres de mes chefs chaque fois que je les recevrai. � Et c�est pour cela, d�ailleurs, qu�il demanda � un moment � Leblois � de ne plus [s]e m�ler de cette affaire, de ne pas continuer � [s]�en occuper, tout en lui donnant la consigne d�agir si jamais [il] �tai[t] menac� �, c�est pour cela qu�il lui interdit de communiquer � quiconque sa correspondance avec Gonse, cr�ant pour Scheurer-Kestner la situation impossible dans laquelle il se trouva et que Leblois ne pouvait pas lui avouer, et c�est pour cela qu�il d�cida de ne rien dire de ce qu�il savait au proc�s Zola quand il eut pu tout faire voler en �clat. Picquart fut certes un h�ros de la conscience mais ne s�occupa plus, rapidement, de Dreyfus. Il n�eut rapidement en effet gu�re d�autre alternative que de se prot�ger. L�honn�tet� ne s��tait pas arr�t�e en route, comme l�avait �crit durement � mais assez justement �, en dernier argument, Scheurer-Kestner � Leblois pour tenter de le faire fl�chir. L�honn�tet� avait laiss� place � la crainte et la crainte justifiait sans doute la prudence. Il n��tait peut-�tre pas n�cessaire de s�offrir en seconde victime� Les int�r�ts �taient donc devenus diff�rents : Mathieu, Scheurer-Kestner voulaient lib�rer un innocent et le pouvaient gr�ce aux preuves de Picquart ; mais Picquart, lui, avait rendu les armes et ce dossier, et l�usage qu�il serait possible d�en faire, n��tait plus pour lui que le moyen de ne pas devenir un autre Dreyfus qui, face � sa propre sauvegarde, n�avait plus d�importance. Il avait finalement accept� d�emporter le secret� sauf dans la tombe que ses anciens coll�gues et sup�rieurs semblaient vouloir lui destiner.
C�est ce Picquart-l� qu�il e�t �t� juste de montrer. Ce Picquart et aussi celui qui recommanda l�usage du dossier secret en 1894 et, plut�t que de nous le montrer �mu par la correspondance de Lucie et Alfred � l��le du Diable, celui qui fut en charge justement de l�analyser, d�y trouver le code de correspondance que les Dreyfus �taient soup�onn�s d�utiliser, et qui d�cidait quelle lettre pouvait �tre transmise et quelle autre devait �tre arr�t�. C�est en lisant ces lettres qu�il avait confi� � Gribelin : � Ah, ils veulent de la lumi�re, je vais leur en faire une, de lumi�re, moi ! �.
Robert Harris nous a donc livr� un tr�s agr�able roman certainement mais qui, en ce qui concerne le sujet qu�il a choisi de prendre, ne nous apportera rien de nouveau. Simplificateur � l�extr�me, d�form� et d�formant, il ne fait que reprendre les pires fables, de l�ingrat Dreyfus au h�ros Picquart, et gomme aussi assez myst�rieusement tout ce que fut la � collusion � comme ce que fut la responsabilit� de Mercier, le � criminel en chef �. Et quand on imagine qu�il doit servir de base � un film et que le cin�ma s�encombre moins encore de nuances, quand on imagine, apr�s avoir lu la citation plus haut donn�e, que ce r�alisateur doit en �tre Polanski, on peut craindre le pire�

D., Paris, Plon, 2014, 22 �.
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Jackinzebox
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MessagePost� le: Lun Mar 05, 2018 11:49 am    Sujet du message: Répondre en citant

moi je relis �a,

peut-�tre mon premier bouquin de tous les temps

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Phil1
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MessagePost� le: Lun Mar 05, 2018 11:26 pm    Sujet du message: Répondre en citant

R�ponse au "post" pr�c�dent:

Heu .. c'est pas faux .. Cool
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Jackinzebox
Oh burger!


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MessagePost� le: Mar Mar 06, 2018 9:35 am    Sujet du message: Répondre en citant

Toi qui est passionn� d'histoire j'ai cru que �a t'int�resserait



Laughing Wink
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Henri
Six rats


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MessagePost� le: Mar Mar 06, 2018 5:29 pm    Sujet du message: Répondre en citant

La pub �tait marrante. Le mecton fait le malin avec son Bontempi et sa copine lui dit: "Tu sais chanter aussi?" et l�, il se met la honte. Laughing
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Jackinzebox
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MessagePost� le: Mer Mar 07, 2018 4:03 pm    Sujet du message: Répondre en citant

trouv�

https://www.youtube.com/watch?v=BZEMqDkXDNE
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Henri
Six rats


Inscrit le: 12 Juin 2005
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MessagePost� le: Jeu Mar 08, 2018 10:14 am    Sujet du message: Répondre en citant

Very Happy
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