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Phil1
Rwa des Belches
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 Post� le: Ven F�v 23, 2007 7:25 pm Sujet du message: Led Zeppelin ... saga |
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Pas de moi .. 
Led Zeppelin() SAGA 20/05/03
La saga de Led Zeppelin
C 'est au cours de l'�t� 1968, il y a 35 ans, qu'eurent lieu les premi�res r�p�titions qui devaient aboutir � la formation de Led Zeppelin, r�unissant les talents de Jimmy Page, Robert Plant, John Bonham et John Paul Jones.
Universellement reconnu comme un des groupes majeurs de l'histoire de la rock music, Led Zeppelin a vendu plus de 200 millions d'albums, ce qui est impressionnant si l'on consid�re que le groupe n'a exist� que pendant douze ans. De 1969 � 1979, ils ont publi� huit albums studio, un "live" (la bande originale du film "The song remains the same") et un album posthume d'in�dits en 1982.
Le 3 juin, tous les albums de Led Zeppelin ressortiront en "vinyles replicas", qui sont des r�pliques des vinyles d'origine en CD, avec la m�me pochette, les m�mes informations et le m�me int�rieur qu'� l'origine, mais en format r�duit.
Auparavant, le 27 mai, c'est-�-dire mardi prochain, sortiront un triple CD et un double DVD (ou double VHS) qui regroupent toute une s�rie d'enregistrements "live". Tout ce mat�riel, in�dit jusqu'ici et diff�rent selon les supports, a �t� r�uni par Jimmy Page, qui nous explique pourquoi tous ces documents paraissent maintenant.
La saga en int�grale
"La raison pour laquelle je l'ai fait aujourd'hui, c'est que le reste du groupe �tait d'accord pour dire que c'�tait une bonne id�e de publier le concert du Royal Albert Hall, si je pouvais retrouver les bandes 8 pistes correspondantes, tout re-synchroniser et tout remettre ensemble. Et j'ai pens� qu'il fallait aller au-del�, pour avoir une histoire compl�te, avec des concerts de 1973, 75 et 79. Parce que c'est vrai, il n'y a pas de probl�me avec l'Albert Hall, c'est un concert fantastique. Mais comme on avait autre chose de 1973, m�me si �a avait �t� un seul morceau, il fallait l'ajouter tout de suite, sans encore demander l'avis de tout le monde, ce qui aurait pu prendre encore vingt ans. J'ai pens� et j'ai dit que c'est ce qu'il fallait faire. Je l'ai donc fait et voil� le r�sultat.
C'est un travail de longue haleine que Jimmy Page vient de r�aliser, mais il y tenait, car ce projet le taraudait d�j� depuis longtemps.
"J'en avais eu l'id�e il y a d�j� un certain temps, mais le d�clic est venu lorsque je me suis mis � la recherche des images de notre concert au Royal Albert Hall. Il a d'abord fallu racheter le film parce qu'il allait �tre vendu aux ench�res chez Sotheby's. C'�tait n�cessaire, parce qu'il existe peu d'enregistrements film�s de Led Zeppelin. Il y avait les images r�alis�es au Madison Square Garden en 1973, qui ont donn� le film 'The song remains the same', et c'est tout. Il n'y avait rien d'autre, pas d'autre film, � part quelques shows � la t�l�vision. Il �tait donc important pour nous de r�cup�rer les images de l'Albert Hall, d'autant que les autres membres du groupe �taient d'accord pour que �a sorte. Ils le voulaient parce qu'ils savaient que c'est une bonne illustration de ce que nous �tions. Moi, je le voulais surtout parce que le seul document existant, 'The song remains the same', n'�tait pas suffisant pour illustrer une p�riode, une carri�re de onze ann�es. Et pour moi, publier uniquement le concert de l'Albert Hall ne suffisait pas, parce que je savais que le reste du mat�riel ne r�appara�trait jamais autrement, car il est tr�s difficile de tout organiser dans ce genre de choses, de prendre des d�cisions. Alors, quand j'ai recherch� le son qui allait avec les images de l'Albert Hall, les bandes 8 pistes, et que j'ai vu tout ce qu'il y avait d'autre, je me suis dit qu'il fallait que je sorte le tout."
Outre le film du concert du Royal Albert Hall en janvier 1970, Jimmy Page a retrouv� d'autres images de Led Zeppelin : � Earl's Court en mai 75 et au festival de Knebworth en ao�t 79. Ces trois concerts donnent l'essentiel du double DVD (ou double VHS) qui sortira officiellement mardi. On y trouve aussi des images du Madison Square Garden qui n'avaient pas �t� utilis�es pour le film "The song remains the same", ainsi que leurs rares apparitions t�l�vis�es, des clips de promotion et des images tourn�es backstage, parfois r�alis�es par des fans du groupe. Ce qui est s�r, c'est que ce double DVD est le document d�finitif concernant Led Zeppelin sur sc�ne, ce que confirme Jimmy Page.
"C'est vrai, car il existe tr�s peu de mat�riel film�. On ne faisait presque pas de t�l�vision, on ne faisait pas de play-backs ; il y a peu d'images de nous. Mais je suis content d'avoir pu r�unir des images de Led Zeppelin en "live", car c'est ce qu'on a toujours voulu. Et m�me si c'est en quantit� r�duite, c'est un bon r�sum� de notre carri�re. On a tr�s peu d'images, et on a d� demander aux pirates � on a m�me fait une sorte d'armistice avec eux � pour avoir un plus large �chantillon musical, davantage d'images. �a a �t� un travail d'amour, mais je suis tr�s fier de l'avoir fait et j'en suis tr�s content. J'esp�re que le public appr�ciera, parce qu'il n'y a rien d'autre."
Satisfaction du travail accompli, donc pour Jimmy Page, mais aussi l'�motion de d�couvrir quelque chose d'exceptionnel.
"Premi�rement, et c'est facile � comprendre, je n'avais jamais vu le groupe. Je ne l'ai jamais vu parce que j'en faisais partie : je voyais les trois autres. De la m�me fa�on que chacun ne voyait que les trois quarts du groupe. Mais on savait que c'�tait bien et qu'on parvenait � faire passer au public un certain esprit, une certaine �nergie. C'�tait bien, m�me si je ne peux m'emp�cher de revoir John Bonham avec une certaine tristesse. Il jouait vraiment bien ; il �tait sans doute le meilleur batteur dans le monde du rock et probablement un des meilleurs batteurs tout court � cette p�riode, de par sa technique et son imagination. C'est s�r. Evidemment, c'�tait triste, mais il a fallu que j'�coute et que je visionne beaucoup, mais le point positif, c'est que tout cela souligne le talent de John et celui des autres. C'�tait super."
Alors que leur travail en studio �tait brillant, leurs prestations sc�niques les transcendaient. En concert, Led Zeppelin d�gageait une puissance et un charisme in�gal�s dans le rock moderne. Les musiciens ne se contentaient pas de reproduire leurs disques, ils utilisaient la sc�ne comme un tremplin cr�atif, proposant souvent � leur public des titres qu'ils n'avaient pas encore enregistr�s, allant toujours plus loin dans l'improvisation, � la d�couverte de territoires encore inexplor�s. C'est ce que l'on retrouve dans le triple CD "HOW THE WEST WAS WON", qui reprend deux concerts donn�s en juin 1972, � Los Angeles et � Long Beach, en Californie, deux concerts exceptionnels.
"Quand j'ai r��cout� ces deux concerts sur la c�te ouest, � Los Angeles et � Long Beach, j'ai trouv� �a fantastique. C'est nous quatre, chacun se donnant � plus de 100 %, et quand on additionne ces quatre �l�ments, on en obtient un cinqui�me qui est la magie de Led Zeppelin. �a m'a vraiment fait plaisir de retrouver �a. En fait, d'une certaine fa�on, ces concerts �taient tellement bons qu'on ne peut pas dire qu'on les a choisis. C'est Led Zeppelin � son meilleur niveau. Mais il n'y a rien d'autre, � part de nombreux pirates r�alis�s � partir de cassettes enregistr�es � la console, je le sais, parce qu'on m'a tout vol�, � la maison, ce que je poss�dais de Led Zeppelin. Y compris des bandes de r�p�titions, des bandes d�mo ; tout �a s'est envol� et s'est retrouv� sur le march� pirate. Mais maintenant, on a ces concerts en format surround 5.1 et c'est plut�t bien."
On trouve sur ce triple CD une version de "Stairway to heaven" ant�rieure � sa version studio, une version de 25 minutes de "Dazed and confused" et une longue improvisation de 23 minutes construite � partir de "Whole lotta love". Jimmy Page s'explique sur le choix du titre donn� � ce triple CD.
"'How the West was won", 'La conqu�te de l'Ouest", c'est le titre d'un film. C'est John Paul Jones qui en a eu l'id�e. 'La conqu�te de l'Ouest' est un des premiers films sortis en 'cin�rama', un proc�d� tr�s impressionnant o� le film �tait projet� simultan�ment sur trois �crans, tr�s larges, tr�s grands, un peu l'anc�tre du proc�d� Imax. C'est une sorte d'�pop�e qui raconte comment les pionniers ont conquis l'Ouest am�ricain, qui est empreinte de cet esprit pionnier. En m�me temps, il y a une question, un jeu de mots : comment nous avons conquis la c�te ouest, comment on a conquis leurs c�urs, comment on a conquis les foules."
C�est Jimmy Page qui est � l�origine de la formation de Led Zeppelin. Depuis 1963, Jimmy est le guitariste de sessions le plus demand� d�Angleterre. On peut l�entendre sur un nombre incalculable d�albums et de singles, par exemple de Tom Jones, Herman�s Hermits, Donovan, Lulu, Brian Poole & The Tremeloes et Cliff Richard.
Jimmy a �galement marqu� de son empreinte �I can�t explain� des Who, �Baby please don�t go� et �Gloria� de Them. En f�vrier 65, il avait refus� de rejoindre les Yardbirds apr�s le d�part d�Eric Clapton. Et c�est lui qui leur avait conseill� d�embaucher Jeff Beck, avec le succ�s que l�on sait.
Pourtant, au cours de l��t� 66, Jimmy change d�avis et accepte le poste, modeste pour lui, de bassiste des Yardbirds en remplacement de Paul Samwell-Smith. Peu de temps apr�s, le d�part de Jeff Beck le laisse seul aux commandes, et c�est l� qu�il exp�rimente ce qui va devenir le son Led Zeppelin.
En juillet 68, apr�s un ultime concert au Lutton College of Technology, les Yardbirds se s�parent d�finitivement. Jimmy Page, qui a h�rit� du nom du groupe, se voit alors dans l�obligation d�honorer plusieurs contrats pass�s en Scandinavie. Pour ce faire, il recrute le bassiste, clavier et arrangeur John Paul Jones, ainsi que deux quasi inconnus, le batteur John Bonham et le chanteur Robert Plant.
Ce choix ne doit rien au hasard, car au-del� de cette mini-tourn�e Yardbirds, Jimmy Page a bien l�intention de poursuivre l�exp�rience en jouant cette fois sa propre musique.
"Je savais tr�s pr�cis�ment ce que je voulais faire et comment le faire. Mon seul vrai probl�me, c��tait de trouver les bonnes personnes, celles avec lesquelles je pourrais concr�tiser mes id�es. Ces id�es, c��tait tout simplement celles que j�avais commenc� � exp�rimenter et � d�velopper au sein des Yardbirds. Pour le chanteur, j�avais pens� soit � Steve Marriott soit � Terry Reid. Steve Marriott n��tait pas disponible. Quant � Terry Reid, qui �tait en fait mon premier choix, c�est lui qui m�a indiqu� Robert Plant. Robert travaillait dans le nord du pays et je ne pense pas qu�il �tait d�j� venu chanter � Londres parce que franchement, je n�avais jamais entendu parler de lui. La premi�re fois que je l�ai entendu chanter, j�ai �t� tr�s impressionn�, pour ne pas dire plus. Je l�ai invit� � la maison et nous avons discut� ; je lui ai expliqu� quel �tait mon projet et comment j�imaginais notre collaboration. Robert est quelqu�un de flexible et nous sommes vite tomb�s d�accord. Quant au batteur, j�avais imagin� un musicien au jeu tr�s puissant, mais rien de comparable � John Bonham. Il �tait bien au-del� de tout ce que j�avais esp�r� dans mes r�ves les plus fous. Il �tait absolument ph�nom�nal ; il l�est d�ailleurs toujours, il suffit d��couter les disques pour s�en rendre compte. Et c�est au moment de mes discussions avec Robert Plant que John Paul Jones m�a contact� parce qu�il avait entendu dire que je montais un groupe. J�ai dit : 'OK, r�unissons-nous tous les quatre'. On l�a fait, on s�est mis � jouer et on n�a plus jamais regard� derri�re nous."
La tourn�e scandinave de Jimmy Page et de son nouveau groupe s�effectue sous le nom de New Yardbirds. De retour en Angleterre, les New Yardbirds deviennent Led Zeppelin, c�est-�-dire le ballon dirigeable, sur une id�e de Keith Moon, le batteur des Who. C'est ce que John Paul Jones nous rappelle.
"Le nom Led Zeppelin est l�invention de Keith Moon. Nous pensions l�utiliser pour un groupe qui r�unissait Jeff Beck, Jimmy Page, Nicky Hopkins, Keith Moon et moi-m�me et qui finalement n�a pas dur� : nous n�avons enregistr� que deux titres, un B-side et le fameux 'Beck�s bolero'. Quand il s�est agi de partir en tourn�e, la perspective de voir cohabiter sur la route cette bande de dangereux caract�riels a fait capoter le groupe. Plus tard, Jimmy et moi, nous nous sommes souvenus du nom et nous avons demand� la permission de l�utiliser � notre profit."
Led Zeppelin fait ses d�buts officiels le 15 octobre 68, � l�Universit� du Surrey, mais les affiches prennent bien soin de mentionner �ex-Yardbirds�, histoire de ne pas totalement couper les ponts avec un pass� encore r�cent.
Le manager de Led Zeppelin, Peter Grant, un ancien catcheur, doublure de cin�ma � ses heures, parvient � les faire signer sur le prestigieux label am�ricain Atlantic et, en d�cembre 68, le groupe part pour les Etats-Unis o� il tourne en premi�re partie de Vanilla Fudge et de MC5.
Profitant d�une pause, ils enregistrent leur premier album en un temps record.
"C�est vrai, ce premier album, nous l�avons enregistr� en une trentaine d�heures. Evidemment, il ne s�agit pas d�une trentaine d�heures d�affil�e. Il y a eu plusieurs s�ances de studio mais quand tu les additionnes, tu obtiens ce total. Et d�ailleurs, j�ai encore la facture qui en atteste. On a �t� vite parce qu�on a enregistr� tous les titres 'live'. On les connaissait par c�ur : on avait eu le temps de les r�p�ter durant la fameuse tourn�e New Yardbirds, juste avant de devenir Led Zeppelin."
Intitul� simplement �LED ZEPPELIN�, ce premier album para�t en mars 69 et grimpe imm�diatement jusqu�� la dizi�me place du hit-parade am�ricain. Heavy-metal dynamite � l�instrumentation pr�cise et vertigineuse, blues lourd, mais aussi musique � la fa�on de l�Incredible String Band, telles sont les directions que Jimmy Page a d�finies pour son �Dirigeable�. Et d�s son premier essai, il a atteint son but de fa�on magistrale.
Durant l��t� 69, Led Zeppelin triomphent au festival de Newport. En octobre, ils entament une nouvelle tourn�e am�ricaine par un concert au Carnegie Hall, un �v�nement exceptionnel puisque la c�l�bre salle new-yorkaise �tait interdite de rock & roll depuis une prestation sulfureuse des Rolling Stones, cinq ans auparavant.
Dans la foul�e, le groupe publie d�j� son deuxi�me album, �LED ZEPPELIN II� qui bat tous les records de vente et se classe n�1 des deux c�t�s de l�Atlantique.
Il contient le premier hymne du heavy-metal, l�extraordinaire �Whole lotta love�, largement inspir� par un titre de Willie Dixon, �You need love�.
En un an et deux albums, Led Zeppelin est pass� de l�anonymat � la l�gende : il est alors temps de prendre du recul et tout le monde se retrouve au Pays de Galles, au cottage de Bron-Y-Aur, pour l�enregistrement d�un troisi�me album au son nettement plus acoustique.
"Ce que nous voulions, c�est continuer � �tendre notre domaine musical. Evoluer, aller vers d�autres musiques, c�est toute l�histoire de Led Zeppelin, la mienne, celle de Jimmy, celle de John Paul aussi : il a d�ailleurs compos� des pi�ces remarquables qui sont � mille lieues du rock. Nous voulions �voluer, nous ouvrir, sortir de la routine, nous secouer pour voir ce qu�il en sortirait. On a saut� dans une jeep avec le chien Strada, les femmes, les enfants, un garde du corps, et on est partis. Nous voulions retrouver une veine plus acoustique, un genre qui ne nous �tait pas totalement �tranger et que nous avions d�j� exploit� avec des titres comme 'Your time is gonna come' et 'Babe I�m gonna leave you'. Nous voulions aller dans la direction de l�Incredible String Band ou de Roy Harper, cr�er une musique plus c�r�brale et qui repose sur une base plus acoustique. On a fait cet album qui �t� un gros succ�s. Mais il s�est moins vendu que les autres � cause de la critique qui s�est vraiment d�cha�n�e contre nous."
�LED ZEPPELIN III� para�t en novembre 70. Ce disque fortement empreint de folklore britannique montre que Jimmy Page et les siens savent d�passer les clich�s du hard, o� se perdront d�ailleurs certains de leurs rivaux comme Deep Purple ou Black Sabbath.
En seulement deux ans et trois albums, Led Zeppelin s'est impos� comme un monument incontournable de la rock music.
�LED ZEPPELIN IV� para�t en novembre 71. Sur un fond musical encore plus violent, � l'image de �Black dog� et de �Rock �n� roll�, se retrouvent m�l�s le mysticisme hippie et un certain go�t pour les sciences occultes dont Jimmy Page est un fervent adepte.
Le morceau de bravoure de �Led Zeppelin IV�, c�est bien s�r �Stairway to Heaven� qui, du fait de sa longueur, ne sortira jamais en single mais restera le titre le plus diffus� sur les radios am�ricaines pendant de longues ann�es.
Fin 1973, Peter Grant r�v�le au Financial Times que Led Zeppelin a gagn� plus de 30 millions de dollars au cours de l�ann�e, rien qu�en tourn�es et en concerts.
Entre temps, en avril, Led Zep avait d�j� publi� son cinqui�me album, �HOUSES OF THE HOLY�, encore plus vari� que le pr�c�dent. On y c�toie du rock tr�s dur, du reggae, de la soul et des ballades folk. Pour la premi�re fois peut-�tre, les fans sont divis�s : il y a ceux qui adorent et il y a ceux qui boudent. Mais les ventes, elles, se portent toujours tr�s bien.
"Je consid�re 'Houses of the holy' comme l�un de nos meilleurs albums. C��tait une p�riode o� nous �tions tr�s inspir�s et �a se remarque car les morceaux sont tr�s au point. Ils sont forts et tr�s resserr�s. 'The crunge' est parfait, 'The rain song' est tr�s bien. C�est un disque o� il y a beaucoup d�imagination et je le pr�f�re nettement au pr�c�dent. Il est tr�s vari� et il y a une l�g�ret� dans un titre comme 'D�yer mak�er' que l�on retrouvera plus tard dans le mat�riel de 'In through the out door', dans 'Hot dog' notamment. C�est un grand disque, une grande p�riode, et j�en suis tr�s fier. Et il faut �tre plut�t gonfl� pour baptiser une chanson 'Houses of the holy' et la mettre sur l�album suivant, 'Physical graffiti'. C�est le genre de blagues qu�aiment faire les potaches anglais.
Au cours de l�ann�e 74, Led Zeppelin travaillent au montage d�un film consacr� � leur derni�re tourn�e am�ricaine. Ils peaufinent aussi un nouvel album qui sera double et dont ils veulent faire leur chef-d'�uvre.
Ce monument, �PHYSICAL GRAFFITI�, para�t en mars 75 et il est bien difficile d�en d�isoler un titre. Le single sera �Trampled under foot�, mais il faut citer aussi �In my time of dying� et bien s�r le formidable �Kashmir�, compos� par Page et Plant en plein d�sert mauritanien.
"Apr�s notre tourn�e am�ricaine de 75, nous avons fini en apoth�ose par une semaine de concerts � Londres, apr�s quoi, Jimmy et moi, on est partis se changer les id�es au Maroc. Jimmy n�avait encore jamais mis les pieds l�-bas et je lui ai montr� les endroits que je connaissais, notamment Marrakech o� le vacarme est permanent. De l�, nous avons pris la direction du Sud vers Tan Tan, en plein Sahara, aux confins de la Mauritanie et du Maroc, l�-m�me o� la guerre devait se d�rouler quelques ann�es apr�s. Et c�est pendant ce trajet que les paroles de 'Kashmir' nous sont peu � peu venues � l�esprit."
Peu de temps apr�s la sortie de �Physical graffiti�, plusieurs �v�nements viennent ralentir les activit�s de Led Zeppelin. Il y a d�abord le grave accident de voiture dont Robert Plant est victime en Gr�ce ; puis c�est John Paul Jones qui se brise la main avant que le trop excessif John Bonham ne se retrouve couvert de points de suture apr�s une bagarre. Durant cette p�riode d�inactivit� forc�e, le groupe �migre au Etats-Unis pour �chapper au fisc anglais.
�PRESENCE� sort en avril 76. C�est un de leurs disques les plus controvers�s, m�me s�il marque un certain retour � l��quilibre, � la s�r�nit�. La violence y est toujours pr�sente, mais elle est plus subtile et contenue, ma�tris�e � l�extr�me.
En octobre 76, Led Zeppelin propose �THE SONG REMAINS THE SAME�, un film et un double album enregistr�s lors d�un concert donn� au Madison Square Garden de New York trois ans plus t�t.
Puis, en 77, le �Dirigeable� est � nouveau frapp� de plein fouet, cette fois � la suite du d�c�s de Karac, le fils de Robert Plant. Le choc est rude et Led Zeppelin ne remontera sur sc�ne qu�en ao�t 79, � l�occasion du festival de Knebworth, o� ils donnent la primeur de leur nouvel album, �IN THROUGH THE OUT DOOR�, qui sort le mois suivant
Le dernier concert de Led Zeppelin a lieu au Palais des Glaces de Berlin-Ouest, le 7 juillet 1980. Et le groupe dispara�t avec la derni�re trag�die qui le frappe, la mort de son batteur, John �Bonzo� Bonham, le 25 septembre � Windsor.
Apr�s quelques h�sitations, apr�s avoir envisag� de faire appel � un autre batteur, les trois musiciens survivants d�cident finalement de ne pas continuer sans Bonzo. Ils l�annoncent officiellement le 4 d�cembre 80. John Paul Jones �voque le souvenir de John Bonham.
"Il n'�tait pas seulement batteur, c'�tait aussi un musicien. Les deux ne vont pas toujours de pair, mais on peut dire �a de tous les instruments. Il savait vraiment ce qu'il faisait, il �coutait, il �tait sensible et il avait du c�ur. On travaillait vraiment bien ensemble. En plus, il �tait toujours de bonne humeur, il avait beaucoup d'humour et il �tait tr�s g�n�reux. Et quand il faisait l'imb�cile, on le suivait. C'�tait un vrai plaisir d'�tre avec lui sur sc�ne. J'ai vraiment beaucoup aim� jouer avec lui."
En novembre 82, un ultime album baptis� �CODA� rassemble leurs derniers titres studio in�dits et met un point final � l�histoire de Led Zeppelin.
Arrive alors le temps des carri�res solos, ponctu�es de reformations sporadiques qui laissent parfois penser que le "Dirigeable" est sur le point de reprendre son vol : on se souvient du Live Aid en 85, du quaranti�me anniversaire des disques Atlantic en 88, ou du mariage de Jason Bonham, le fils de �Bonzo�, en 90. Mais aucune de ces r�unions ne d�bouche sur un r�sultat durable.
En 94, finalement, Jimmy Page et Robert Plant reforment ce qu�ils n�osent pas appeler Led Zeppelin, mais qui en a toute l�apparence malgr� l�absence de John Paul Jones.
Sous le nom de Page-Plant, ils publient l�album �NO QUARTER�, compos� principalement d�anciens titres de Led Zeppelin r�arrang�s sp�cialement pour un show MTV baptis� �Unledded�.
En 1998, Jimmy Page participe � la bande originale du film "Godzilla", o� il accompagne Puff Daddy sur "Come with me", un titre construit � partir de "Kashmir". Puis il retrouve Robert Plant pour l'album "WALKING INTO CLARKSDALE", leur premier projet commun compos� de titres enti�rement originaux depuis 1979, date de sortie du dernier Led Zeppelin, "In through the outdoor".
Au d�but des ann�es 90, Jimmy Page avait entrepris un vaste programme de remasterisation et de remixage des albums de Led Zeppelin. Ce qui fait qu�aujourd�hui, la discographie du groupe est disponible sous de nombreuses formes, adapt�es � toutes les bourses : du plus cher, le coffret �THE COMPLETE STUDIO RECORDINGS�, qui regroupe les neuf albums studio de Led Zep, au plus avantageux, le double �REMASTERS�, v�ritable �Best of� de vingt-six titres, vendu d�sormais au prix d�un seul CD.
Poursuivant son travail d'archiviste, c'est encore Jimmy Page qui est � l'origine du retour de Led Zeppelin au devant de l'actualit� en ce mois de mai 2003 avec les sorties simultan�es d'un double DVD (ou double VHS) et du triple CD "HOW THE WEST WAS WON".
Mais ce retour ne signifie pas pour autant que le groupe va se reformer. Pour Jimmy Page, ce n'est pas encore d'actualit�.
"De mon point de vue, je n'ai pas l'intention de reformer Led Zeppelin simplement parce qu'un agent nous a organis� une tourn�e ou dans le but de pouvoir gagner beaucoup d'argent. �a ne m'int�resse pas, c'est tout ; �a serait une perte de temps. Pour moi, la chose la plus importante serait que les trois musiciens puissent se retrouver dans une pi�ce avec leurs instruments et arrivent � se regarder droit dans les yeux, sinc�rement, jouer, et � la fin, se sourire et se regarder bien en face, sans baisser le regard, et avoir retrouv� l'esprit du groupe. L�, je pourrais l'envisager. Mais sans cela, sinc�rement, je n'envisage pas de reformation, ce serait malhonn�te. Je sais dans quel esprit on �tait quand on jouait avec Led Zeppelin et c'est la raison. Mais la porte n'est pas ferm�e, soyons clair. Toutefois, il y a beaucoup d'�l�ments qui entrent en ligne de compte et qu'il faudrait r�gler d'abord. Il faudrait se mettre d'accord sur un batteur, puis sur le r�pertoire et enfin sur la fa�on de l'interpr�ter. Il y a donc ces diff�rents �l�ments et de l'eau coulera encore sous les ponts. Mais de mon point de vue, voil� comment j'envisage les choses. En tout cas, ce n'est pas la peine de venir agiter des billets de cent dollars sous mon nez, �a ne donnera rien."
En octobre 1999, accompagn� par les Black Crowes, Jimmy Page avait donn� une s�rie de concerts au Greek Theatre de Los Angeles, o� il interpr�tait essentiellement des compositions de Led Zeppelin. Cela avait donn� l'album "JIMMY PAGE & THE BLACK CROWES � LIVE AT THE GREEK", qui est paru en f�vrier 2000.
Car, avec ou sans Led Zeppelin, envers et contre tout, Jimmy Page n'a jamais cess� de jouer de la guitare.
"Bien s�r que je joue, mais ce n'est rien compar� � mon adolescence, o� la guitare ne me quittait jamais, sauf quand on me la confisquait � l'�cole, c'est vrai. Je passais l'essentiel de mon temps � jouer. Aujourd'hui, j'ai trois jeunes enfants et m'occuper d'eux est une occupation � plein temps, au d�triment de la guitare. Il faut savoir faire la part des choses. Mais bien s�r, je joue toujours de la guitare � la maison."
Guitariste des Yardbirds, guitariste de Led Zeppelin ou guitariste solo, Jimmy Page demeure pour beaucoup une ic�ne, m�me si lui pr�f�re relativiser les choses.
"Ma r�putation d'ic�ne, comme tu dis, vient essentiellement de mon travail au sein de Led Zeppelin, sur disque et sur sc�ne. Je pense que, si j'ai pu inciter quelqu'un � prendre une guitare pour jouer, pour enregistrer ou tout simplement pour prendre du bon temps, c'est parfait. Si j'ai �t� celui qui fait dire quand on le voit : 'oh non, je n'ai vraiment pas envie de faire �a', c'est bien aussi."
Pour terminer cette Saga, nous retrouvons Led Zeppelin au grand complet pour une version de "Heartbreaker" enregistr�e en juin 1972 et qui fait partie du triple CD qui sortira mardi, "How the West was won".
DISCOGRAPHIE :
LED ZEPPELIN
"LED ZEPPELIN I" (album � 1969)
"LED ZEPPELIN II" (album � 1969)
"LED ZEPPELIN II" (album � 1970)
"LED ZEPPELIN IV" (album � 1971)
"HOUSES OF THE HOLY" (album � 1973)
"PHYSICAL GRAFFITI" (album � 1975)
"PRESENCE" (album � 1976)
"THE SONG REMAINS THE SAME" (album � 1976)
"IN THROUGH THE OUT DOOR" (album � 1979)
"CODA" (album �1982)
"REMASTERS" (compilation � 1990)
"BBC SESSIONS" (album � 1997)
"EARLY DAYS � The Best of Led Zeppelin, Volume 1" (compilation 1999)
"LATTER DAYS � The Best of Led Zeppelin, Volume 2" (compilation 2000)
"HOW THE WEST WAS WON" (live album � 2003)
Robert PLANT
"PICTURES AT ELEVEN" (album � 1982)
"THE PRINCIPLE OF MOMENTS" (album � 1983)
"SHAKEN 'N' STIRRED" (album � 1985)
"NOW AND ZEN" (album � 1988)
"MANIC NIRVANA" (album � 1990)
"FATE OF NATIONS" (album � 1993)
Jimmy PAGE
"DEATH WISH II" (OST � 1982)
"OUTRIDER" (album � 1988)
The HONEYDRIPPERS
"VOLUME 1" (album � 1984)
The FIRM
"THE FIRM" (album � 1985)
"MEAN BUSINESS" (album � 1986)
Jimmy PAGE & Robert PLANT
"NO QUARTER" (album � 1994)
"WALKING INTO CLARKSDALE" (album � 1998)
Jimmy PAGE & The BLACK CROWES
"LIVE AT THE GREEK" (album � 1999)
John Paul JONES
"ZOOMA" (album � 1999) |
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MadPhil
Crazy ours
Inscrit le: 02 Avr 2005
Messages: 37619
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| Post� le: Lun Mar 05, 2007 5:48 pm Sujet du message: |
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 Ils ont oubli� Coverdale et Page dans la discographie solo de Page !
Et ce n'est pas mis � jour depuis 1999... (manque un album de J-P Jones et plusieurs de Plant)
Pour compl�ter cette saga, voici un site qui pr�sente 20 � 30 chansons de Led Zep qui sont pomp�es plus ou moins fort et plus ou moins officiellement dans des oeuvres du blues et du folk.
Les originaux sont m�me compil�s de diverses mani�res par plusieurs firmes.
http://www.turnmeondeadman.net/Zep/Originals.php
_________________
 I am madly in love with psychedelic rock'n'roll |
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Summertimes
Invit�
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| Post� le: Lun Mar 05, 2007 8:20 pm Sujet du message: |
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| De quoi le batteur Bonham est-il d�c�d�? |
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Eric
kiloposteur
Inscrit le: 04 Avr 2005
Messages: 4444
Localisation: Woodstock
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| Post� le: Lun Mar 05, 2007 10:24 pm Sujet du message: |
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| Un extr�me abus d'alcoll (vodka je crois). |
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Henri
Six rats
Inscrit le: 12 Juin 2005
Messages: 19601
Localisation: Jette
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| Post� le: Lun Mar 05, 2007 10:49 pm Sujet du message: |
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Ouais, dommage...
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After all is said and done,
gotta move while it's still fun,
Let me walk before they make me run... |
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molodoi
myriaposteur
Inscrit le: 03 Sep 2005
Messages: 14217
Localisation: todi su l'voye
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| Post� le: Mar Mar 06, 2007 8:14 am Sujet du message: |
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| Eric a �crit: | | (vodka je crois). |
Correct 
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 Nous ne sommes ni des m�caniques, ni des poss�d�s, nous sommes pires: libres (Molodo�)
Only a Gibson is good enough
Le Blues, c'est facile. Tu te mets dans un champ et tu cries 
http://molodoi.labrute.fr |
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Simon
I'm a dick, a dick, a dictator!
Inscrit le: 04 Avr 2005
Messages: 25268
Localisation: Bruxelles
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| Post� le: Mar Mar 06, 2007 8:44 am Sujet du message: |
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Et de s'�tre couch� sur le dos...  |
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Henri
Six rats
Inscrit le: 12 Juin 2005
Messages: 19601
Localisation: Jette
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| Post� le: Mar Mar 06, 2007 10:06 am Sujet du message: |
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Ah, il s'est �touff� avec son vomis... 
Le truc qui pend au nez de tous les poivrots...
Pour vivre longtemps, faut faire comme Keith Richards, faut �viter les exc�s!...
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After all is said and done,
gotta move while it's still fun,
Let me walk before they make me run... |
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molodoi
myriaposteur
Inscrit le: 03 Sep 2005
Messages: 14217
Localisation: todi su l'voye
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| Post� le: Mar Mar 06, 2007 10:24 am Sujet du message: |
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| Henri a �crit: | | faut �viter les exc�s!... |
Tu consid�res le cocottier comme un exc�s?
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Nous ne sommes ni des m�caniques, ni des poss�d�s, nous sommes pires: libres (Molodo�)
Only a Gibson is good enough
Le Blues, c'est facile. Tu te mets dans un champ et tu cries
http://molodoi.labrute.fr |
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Henri
Six rats
Inscrit le: 12 Juin 2005
Messages: 19601
Localisation: Jette
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| Post� le: Mar Mar 06, 2007 10:32 am Sujet du message: |
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Ben non, tout le monde se demande pourquoi il a grimp� � un cocotier � son �ge, alors qu'il a juste voulu s'assoir le tronc d'un cocotier couch� mais qu'il est tomb� en arri�re... d'une hauteur d'un m�tre... 
PS: arr�te de flooder!...
_________________
After all is said and done,
gotta move while it's still fun,
Let me walk before they make me run... |
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oli6412
kiloposteur
Inscrit le: 30 Sep 2006
Messages: 5730
Localisation: Rockaway Beach
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| Post� le: Mar Mar 06, 2007 10:34 am Sujet du message: |
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| Henri a �crit: | Ah, il s'est �touff� avec son vomis...
Le truc qui pend au nez de tous les poivrots...
Pour vivre longtemps, faut faire comme Keith Richards, faut �viter les exc�s!... |
Ou dormir sur le ventre... 
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No one really knows me. People think they know me.
Johnny Thunders |
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Henri
Six rats
Inscrit le: 12 Juin 2005
Messages: 19601
Localisation: Jette
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| Post� le: Mar Mar 06, 2007 10:38 am Sujet du message: |
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| oli6412 a �crit: | | Henri a �crit: | Ah, il s'est �touff� avec son vomis...
Le truc qui pend au nez de tous les poivrots...
Pour vivre longtemps, faut faire comme Keith Richards, faut �viter les exc�s!... |
Ou dormir sur le ventre... |
Ou�, ou la t�te sur le c�t�, regarde comme il montre bien l'exemple...
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After all is said and done,
gotta move while it's still fun,
Let me walk before they make me run... |
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oli6412
kiloposteur
Inscrit le: 30 Sep 2006
Messages: 5730
Localisation: Rockaway Beach
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| Post� le: Mar Mar 06, 2007 10:47 am Sujet du message: |
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J'en prends bonne note...
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No one really knows me. People think they know me.
Johnny Thunders |
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Eric
kiloposteur
Inscrit le: 04 Avr 2005
Messages: 4444
Localisation: Woodstock
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| Post� le: Mar Mar 06, 2007 8:47 pm Sujet du message: |
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Contrairement au cannabis/hashich, la dose l�tale de l'alcool est bien connue. Et elle a �t� atteinte et d�pass�e dans le cas qui nous occupe. Il s'agit bien de cela. Dans ce cas, assis, couch�, debout, avec ou sans vomi, c'est caisse fieu ! Et m�me grosse caisse car John Bonham faisait faire les siennes, taille XXL sur mesure. 
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Henri
Six rats
Inscrit le: 12 Juin 2005
Messages: 19601
Localisation: Jette
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| Post� le: Mar Mar 06, 2007 10:38 pm Sujet du message: |
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Une Ludwig en plus! Toute une �poque!...
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